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ENCYCLOPÉDIE DU CINÉMA FRANÇAIS

 

 

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Christine Boisson

Véritable nom : Christine Nelly Simone Boisson.

Née à Salon-de-Provence (Bouches-du-Rhône) le 8 avril 1956.

Entre pénurie d’essence, manifs aux relents de tirs de flashballs et froidure généralisée jusque dans le procès de Virginie Labrosse, dite la Reine du Surgelé, un texto reçu en début de semaine nous réchauffe un peu (beaucoup) le cœur et même l’épiderme : Christine Boisson va bien, elle se repose au soleil et, ce faisant, reprend du poil de la bête (de scène, aussi). En dépit de la politesse généralement requise à l’encontre des comédiennes lorsqu’elles sont belles, captivantes et monstrueusement douées, notre équipe a choisi de déroger, pour une fois, aux bonnes manières et, partant, de l’embrasser fort. Pas comme du bon pain – on ne va pas exagérer non plus – mais l’intention y est, et la filmographie qui va avec également.

FILMOGRAPHIE CINÉMA :

1973 : Les Aventures de Rabbi Jacob (Gérard Oury, figuration). La Bonne Nouvelle (André Weinfeld, CM). Emmanuelle (Just Jaeckin). Le Mouton enragé (Michel Deville). 1974 : Le Jeu avec le feu (Alain Robbe-Grillet). Thomas (Jean-François Dion). 1975 : Die Hinrichtung/Born from Hell/Naked Massacre (Denis Héroux). Divine (Dominique Delouche). Flic Story (Jacques Deray). 1976 : Adom ou le Sang d’Abel (Gérard-Myriam Benhamou). Électre, le droit à la folie pour tous ou la Vengeance en question (Maria Koleva). 1979 : Extérieur, nuit (Jacques Bral). 1980 : Du blues plein la tête (Hervé Palud, inédit). Seuls (Francis Reusser). 1981 : La Chanson du mal-aimé (Claude Weisz, inédit). Identification d’une femme/Identificazione di una donna (Michalangelo Antonioni). 1982 : Die Flügel der Nacht (Hans Noever). 1983 : Liberté la nuit (Philippe Garrel). Rue Barbare (Gilles Béhat). 1984 : Paris vu par… 20 ans après – sk. Rue Fontaine (Philippe Garrel). 1985 : L’Aube (Miklós Jancsó). Rue du Départ (Tony Gatlif). 1986 : Jenastch (Daniel Schmid). Le Moine et la Sorcière (Suzanne Schiffman). Le Passage (René Manzor). 1987 : Dreamers/Ha-Holmim (Uri Barbash). La Maison de Jeanne (Magali Clément). 1988 : Radio Corbeau (Yves Boisset). 1989 : Il y a des jours… et des lunes (Claude Lelouch). Un amour de trop (Franck Landron). 1990 : Caldo suffocante (Giovanna Gagliardo). 1992 : Les Amies de ma femme (Didier Van Cauwelaert). Une nouvelle vie (Olivier Assayas). 1993 : Le Condamné (Xavier Giannoli, CM). Les Marmottes (Élie Chouraqui). Pas très catholique (Tonie Marshall). 1994 : Ernesto « Che » Guevara, le Journal de Bolivie/Ernesto Che Guevara, das bolivianische Tagebuch (Richard Dindo, commentaire). 1996 : L’Homme idéal (Xavier Gélin). 1998 : In extremis (Étienne Faure). 1999 : En face (Mathias Ledoux). Love Me (Lætitia Masson). Manipularea (Nicolae Opritescu). La Mécanique des femmes (Jérôme de Missoltz). 2001 : La Vérité sur Charlie/The Truth about Charlie (Jonathan Demme). 2003 : Sindromul Timisoara (Marius Barna). 2005 : Ma culotte (Blandine Lenoir, CM). 2007 : Le Bal des Actrices (Maïwenn/Maïwenn Le Besco).  J’ai rêvé sous l’eau (Hormoz). 2008 : Une affaire d’État (Éric Valette).

© Armel de Lorme